Il est inutile de transporter le plastique nécessaire à l'impression 3D du châssis et de la carrosserie du robot car il est demandé, dans le cahier des charges, d'utiliser les pièces qui peuvent être récupérées sur les robots déjà présents sur Mars afin de limiter la cargaison de la navette spatiale. Les pièces métalliques des châssis et carrosserie de ces anciens rovers et sondes sont des parties non sensibles et résistantes qui pourront très bien être réutilisées, découpées, assemblées... pour construire les châssis et la carrosserie du nouveau robot explorateur.